Dimanche 13 Juin 2004
A trop idéaliser l'amour, on le détruit. Si je n'étais pas cette personne excessive, qui a envie de tout faire avec lui et qui veux qu'il s'intéresse à tout et que ça lui fasse rien de me suivre du moment que c'est avec moi. Si je ne voyais pas l'amour comme un partage absolu, une entente parfaite, comme deux personnes qui s'admirent et qui prennent soin l'une de l'autre. Si je n'aime pas associer amour et monotonie. Je vois l'amour comme des explosions qui se succèdent et se supperposent. Comme une sorte de liberté dans l'attachement.